Améliorer le droit pénal de l’environnement n’est pas une fin en soi. « La peur du gendarme », fût-il compétent et doté de moyens d’actions suffisants et coordonnés ne remplacera pas le développement d’actions d’informa- tion, de sensibilisation, d’éducation à la nécessaire pro- tection de la nature.