Fédération Internationale de Canyoning, nouveau Comité Directeur
Illustration : Extrait d’image partagée par la FIC sur son groupe Facebook
Fédération Internationale de Canyonisme
L’histoire de la Fédération Internationale de Canyonisme (FIC) débute en 2003 avec la volonté d’organiser un festival international du canyon. Ces événements, appelés « Rassemblement International de Canyon » (RIC), se tenaient chaque année. En 2014, des canyonistes français ont collaboré avec des canyonistes du monde entier pour créer une nouvelle association : l’Association Internationale de Canyonisme Amateur (IAAC). Cette association était dédiée au canyoning de loisir (appelé « amateur » en droit français). L’objectif principal de l’IAAC était :
- Faciliter la mise en réseau des canyonistes du monde entier afin d’échanger des informations sur le canyoning
- Développer le canyoning international
- Soutenir les actions des associations de canyon auprès de leurs institutions politiques, juridiques, administratives et économiques
- Développer le respect de la nature
- Développer des connaissances scientifiques en milieu de pratique
- Établir une réflexion commune sur les techniques de canyon, les formations et le sauvetage
- Favoriser la continuité du Rassemblement International de Canyon (RIC)
Comme on peut l’imaginer, le mot « amateur » dans le nom d’une association est peu attrayant. La traduction d’une langue à l’autre et la gestion des différents systèmes juridiques nationaux sont des défis majeurs. Par conséquent, l’IAAC a changé de nom pour devenir FIC. En français, cela signifie « Fédération Internationale de Canyonisme ». En anglais, FIC devient « Federation for International Canyoning ». Au départ, nous avons eu une petite confusion, l’anglais préférant dire « International Federation of Canyoning ». Les initiales étaient donc soit IFC, soit FIC. Le conseil d’administration a décidé de n’utiliser que FIC.
Adhésion
L’adhésion à la FIC est réservée aux associations de canyonistes amateurs ; les associations de guides et les guides rémunérés ne peuvent pas en être membres. Chaque pays peut avoir jusqu’à trois associations représentatives. Elles se partagent le droit de vote sur toute question relevant de la FIC.